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BA&SH A OBTENU LA CERTIFICATION B CORP TM AVEC UNE NOTE RECORD DE 98 POINTS EN JUIN 2024. CE FLEURON DE LA MODE FRANÇAISE FAIT DESORMAIS FIGURE D’EXEMPLE EN MATIERE DE RSE. BARBARA BOCCARA ET SHARON KRIEF, CO-FONDATRICES, ONT RESPECTE LA PROMESSE QU’ELLES S’ETAIENT FAITES AU DEBUT DE LEUR AVENTURE : FAIRE DE LA MODE AUTREMENT, CREER DES VETEMENTS AVEC UN ESPRIT POSITIF ET L’ENVIE DE FAIRE MIEUX, OFFRIR AU MONDE UNE MARQUE RESOLUMENT OPTIMISTE ET TOURNEE VERS LE FUTUR. MEME SI CETTE CERTIFICATION FAIT FIGURE DE GRAAL, ELLE N’EST PAS UNE DESTINATION, MAIS UNE ETAPE ET UN ENGAGEMENT POUR LES ANNEES A VENIR. DEPUIS 2017, LEURS EQUIPES ONT SOULEVE DES MONTAGNES POUR LIMITER LEUR IMPACT SUR LE CLIMAT, L’EAU ET LA BIODIVERSITE, TRAVAILLE SUR LA CONFORMITE, LA TRAÇABILITE ET LA CIRCULARITE DE LEURS PRODUITS, FAVORISE LA DIVERSITE ET L’INCLUSION ET MULTIPLIE LES BONNES ACTIONS POUR SOUTENIR LES FEMMES DANS LES DOMAINES DE LA SANTE, DE L’ENTREPRENARIAT ET L’EDUCATION. SHARON KRIEF ET BARBARA BOCCARA REVIENNENT SUR CE BEAU PARCOURS, UNE LONGUE MUE COLLECTIVE QUI A TRANSFORME LEUR ECOSYSTEME EN PROFONDEUR.
Qui est à l’initiative de votre démarche RSE et quand cette aventure a-t-elle débuté ?
Sharon Krief : Barbara a été élevée à la campagne par une vraie dame nature. Sa mère a toujours eu un profond respect pour l’environnement et l’a fait grandir en sachant combien la nature était précieuse. Ce qui n’est pas mon cas… Mais c’est justement Barbara qui m’a sensibilisée à cela et a complètement transformé ma vision du monde. On a toujours été très responsables, très éthiques, dans la manière de gérer nos collaborateurs. Pour ce qui est de l’environnement, on a évidemment tout de suite adopté des gestes comme le tri sélectif, par exemple. Et petit à petit, nos bonnes pratiques se sont étendues à toutes les facettes de notre marque.
Barbara Boccara : Le grand virage a eu lieu en 2017 avec le lancement de notre stratégie de développement durable. On a planché sur cinq piliers principaux : l’action environnementale (climat, biodiversité, eau), la conformité sociale et la traçabilité, les matières certifiées et innovantes, la circularité et la communauté, y compris la diversité et l’inclusion.
Qui a trouvé votre slogan « Walk on the Bright Side » ? Que représente-t-il ?
S. K. : Après différentes réunions de travail avec nos équipes, nous nous sommes rendu compte que l’on avait une vision commune : croire qu’il est toujours possible de faire mieux et de célébrer tous les pas, grands ou petits, qui vont dans la bonne direction sur les sujets sociaux et environnementaux. Notre parti pris, c’est de dire que tout ce que nous avons fait - qui nous a permis d’atteindre une note B CorpTM remarquable de 98 points - nous engage pour l’avenir. On est dans l’optimisme d’action.
B. B. : On peut faire la mode autrement. On a une vision positive et c’est pour cela qu’on a choisi le slogan « Walk on the Bright Side ». Il est le fruit de notre vision commune et de notre engagement à toujours voir le côté positif des choses. Il représente notre philosophie de vie, optimiste et énergique. Cette tagline incite notre communauté à adopter une attitude positive, à agir pour le bien, et à célébrer chaque petite victoire quotidienne. C’est une manière de rappeler que chaque action compte et que l’optimisme est une force motrice pour le changement. Ce n’est pas un optimisme béat ou naïf, c’est une posture de responsabilité. Au-de-là de la RSE, elle est totalement en ligne avec l’essence de Ba&sh. Notre raison d’être est d’ensoleiller la vie des femmes et cela de façon très concrète.
Comment s’exprime votre politique environnementale en termes de production ?
S. K. : 55 % des émissions de Ba&sh sont générées par la production de nos produits. La stratégie de décarbonation sur sa chaîne amont se décline en plusieurs actions de réduction. Le premier levier identifié est la relocalisation de notre production en proche import (Europe, Maghreb, Turquie). En 2023, c’était 53 % en nombre de référence. Et, d’ici 2025, l’objectif est d’atteindre les 60 %. Le second levier est la réduction de la part du transport aérien. En 2023, nous avons utilisé 73 % de transport routier, 18 % de transport aérien et 9 % de transport maritime. En 2025, nous souhaitons réduire encore le transport aérien de 4 %. Enfin, nous travaillons main dans la main avec nos fournisseurs afin qu’ils mettent en place des pratiques moins impactantes. Par exemple, sur le cuir, nos partenaires sont des tanneries certifiées LWG (Leather Working Group), une norme de certification qui garantit une réduction de notre empreinte carbone et des pressions exercées sur la biodiversité à l’étape du tannage du cuir. En 2023, 95 % de nos tanneries étaient certifiées LWG. D’ici 2025, Ba&sh a pour objectif de sourcer 100 % de son cuir dans des tanneries certifiées LWG.
Quelles actions menez-vous pour réduire votre impact carbone, votre consommation d’eau et préserver les écosystèmes de la planète ?
B. B. : Nous défendons, depuis le lancement de notre stratégie RSE, une approche holistique qui tient compte de l’interdépendance des enjeux climat, biodiversité et eau. Sur le volet carbone, nous calculons annuellement notre bilan carbone et déployons une stratégie de réduction de nos émissions de gaz à effet de serre sur l’ensemble des activités de Ba&sh. Outre les leviers de production évoqués, nous sommes passés aux énergies renouvelables dans nos points de vente et entrepôt. Sur le volet biodiversité, sur la base d’un diagnostic d’impact des pressions exercées sur la biodiversité, nous avons élaboré une stratégie complémentaire à celle du climat. En 2023, nous avons travaillé sur de multiples projets : préservation des éco-systèmes naturels, agriculture durable, biologique, et régénératrice, conservation des forêts, préservation des terres, réduction de la consommation d’eau, de la pollution de l’air, de l’eau et des sols. Enfin, sur le volet eau, Ba&sh travaille activement à la réduction de sa consommation et de la pollution dans ses chaînes d’approvisionnement. Pour aller plus loin, nous avons conduit une empreinte eau des activités (consommation et pollution) sur l’ensemble de sa chaîne d’approvisionnement. À l’issu de cette étude, nous avons formalisé un plan de réduction de notre consommation et pollution de l’eau.
Vous avez également obtenu la certification B Corp TM en juin dernier. En quoi est-ce une étape importante ?
S. K. : B Corp TM constitue la récompense d’une transformation profonde et rapide de la marque. Toutefois, ce n’est nullement une destination. Nous sommes conscients du chemin qu’il nous reste à parcourir et nous nous inscrivons dans une démarche d’amélioration continue. Il est toujours possible de faire mieux. Cette labellisation nous engage envers les générations futures. En 2020, nous complétions le questionnaire B Corp TM pour la première fois (BIA, B Impact Assessment), nous obtenions 54 points. En juin 2024, quatre ans de transformation durable plus tard et après 18 mois d’un process rigoureux et méticuleux, Ba&sh obtient la labellisation B CorpTM avec un excellent score de 98 points.
B. B. : Nous en sommes très fiers ! Le seuil est à 80 points et la moyenne de notre secteur est de 80,9 points. Nous avons répondu et apporté des preuves aux déclarations à plus de 200 questions sur les 5 domaines d’impact de la labellisation B Corp TM : gouvernance, collaborateurs, environnement, communauté et clients.
Qu’est-ce qu’une analyse de double-matérialité ?
B. B. : Accompagnés d’un cabinet de conseil spécialisé, nous avons réalisé notre première analyse de double matérialité début 2024. Il s’agit de cartographier les principaux enjeux RSE d’une entreprise en couvrant à la fois les impacts sur son écosystème (matérialité d’impact) et les impacts de celui-ci sur l’entreprise (matérialité financière). L’analyse de double matérialité constitue la première étape de la mise en conformité à la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive). Cet exercice a mobilisé des parties prenantes internes (comité exécutif, responsables de service, collaborateurs) et externes (experts biodiversité et climat, actionnaires, membres d’entreprises œuvrant pour la circularité et la traçabilité). Au total, plus de 30 personnes ont participé à l’élaboration de cette analyse au travers d’entretiens individuels, d’ateliers participatifs ou d’enquêtes. Les enjeux identifiés ont confirmé les priorités déjà établies par Ba&sh dans sa stratégie RSE en place depuis 2017, mettant en lumière la cohérence des plans d’action existants et la maturité de l’entreprise sur ces questions. Huit principaux enjeux matériels ont été identifiés et répartis en quatre catégories : environnement, chaîne d’approvisionnement, produits et communication, RH et conduite d’affaires.
Vous avez créé votre propre site de seconde main. Comment avez-vous réalisé cet exploit ?
S. K. : La création de notre site de seconde main a été un projet ambitieux réalisé en collaboration avec le start-up française Faume, nos équipes digitales, marketing et logistique. Nous avons mis en place une plateforme intuitive et conviviale qui permet à nos clientes de vendre et d’acheter des pièces Ba&sh, prolongeant ainsi la vie de nos produits et soutenant une mode circulaire. En 2023, 20 000 pièces de seconde main ont été reprises et 15 000 pièces de seconde main Ba&sh ont été vendues. Cela a permis d’éviter de générer 28,8 tonnes de CO2 en comparaison à l’achat de pièces neuves. Notre objectif en 2024, c’est de réaliser 8 % du chiffre d’affaires en ligne en France à partir de la vente de pièces de seconde main. Et aussi d’étendre cette nouvelle offre à l’Europe – Allemagne, Belgique, Pays Bas et Espagne – et d’ouvrir la reprise en points de vente en France et dans certains pays d’Europe. Sur le long terme, notre objectif est de remplacer une partie des soldes par la seconde main.
Pourquoi les clientes privilégieraient votre site de seconde main plutôt qu’un autre acteur de la circularité ?
B. B. : Nos clientes privilégient notre site de seconde main car elles y retrouvent l’univers Ba&sh et la garantie de l’authenticité des pièces. En achetant ou en vendant sur notre plateforme, elles participent à une communauté engagée, bénéficiant de notre expertise et de nos standards de qualité. De plus, notre site offre une expérience fluide et sécurisée, renforcée par notre connaissance approfondie de nos produits et de notre clientèle. Cette démarche circulaire vous permet-elle de toucher un autre type de clientèle ?
S. K. : En effet, elle nous permet de toucher un public plus jeune et conscient des enjeux environnementaux. Ces consommateurs recherchent des alternatives durables et responsables et notre site de seconde main répond parfaitement à leurs attentes en proposant des pièces à des prix accessibles tout en participant à une mode plus éthique. Depuis le lancement de notre offre de seconde main, le taux de recrutement est de 35 %.
Comment avez-vous optimisé votre traçabilité ?
B. B. : Les chaînes d’approvisionnement de l’industrie textile sont complexes et très opaques, avec un nombre souvent important d’étapes et de fournisseurs. Cela va de la culture de la matière première jusqu’à la confection du vêtement. Face à ce constat, il nous a semblé indispensable, dès 2020, d’atteindre un niveau élevé de traçabilité et d’apporter de la transparence sur les conditions de fabrication de nos produits. Malgré la complexité du sujet, Ba&sh a pour ambition de tracer l’ensemble de ses produits jusqu’à l’origine de la matière première d’ici 2025 grâce à l’outil de traçabilité Fairly Made. Un véritable levier d’action et de transformation pour s’assurer du respect de nos exigences environnementales et sociales tout au long de la chaîne – et inciter nos partenaires à améliorer leurs pratiques. Au global, 60 % des références étaient tracées sur les rangs 1, 2 et 3, c’est-à-dire jusqu’au fil sur la collection automne-hiver et printemps-été 2023, soit 400 références tracées via Fairly Made. Nos objectifs : 100 % des références tracées a minima jusqu’au fil (rang 3) en 2024 et 100 % des références tracées jusqu’à l’origine de la matière première en 2025. Nous avons de plus en plus de clients qui scannent nos produits. Depuis le début de l’année, nous en sommes à 8366 scans en France, États-Unis et Allemagne.
En quoi consiste votre politique sociétale ?
S. K. : Nous promouvons l’égalité, la diversité et l’inclusion au sein de notre entreprise et de notre communauté. Nous soutenons des initiatives qui favorisent l’émancipation des femmes, améliorent leurs conditions de vie et encouragent leur participation active dans tous les domaines. Cela inclut des programmes de formation, des partenariats avec des organisations dédiées à l’égalité des genres et des actions concrètes pour créer un environnement de travail équitable et respectueux.
"Notre raison d’être est d’ensoleiller la vie des femmes de façon très concrète".
Parlez-nous du programme Fund and Action… Quelles associations et/ou organisations soutenez-vous ?
B. B. : Fund and Action regroupe plusieurs activités philanthropiques destinées aux femmes, centrées d’une part sur la lutte contre les violences, mais aussi sur la création d’opportunités socio-économiques pour toutes. Ce programme nous permet de collaborer avec diverses associations. Women Safe & Children x Ba&sh : plus de 40 000 euros en 2023 ont été versés à l’association qui soutient les femmes victimes de violences dans le cadre de notre capsule Women are Fundamental. Shanti Sahyog, une association indienne qui œuvre pour l’émancipation des femmes : notre capsule Women are Fondamental 2024 a été conçue en partenariat avec les femmes de cette structure et une partie des profits des ventes lui sont reversée. Power Blazer : chaque année, les bénéfices des ventes de blazers permettent de soutenir des entrepreneuses que nous avons sélectionnées. En 2023, quatre nouvelles lauréates ont été aidées dans leurs projets entrepreneuriaux. Institut Rafaël en Santé Intégrative x Ba&sh : deux fois par an, nous coorganisons un atelier relooking offrant à 15 femmes en parcours de soin un moment hors du temps et l’opportunité de composer le look de leur choix. Pour clôturer Octobre Rose l’année dernière, Ba&sh eu le privilège d’accueillir le docteur Alain Toledano, oncologue à l’Institut Rafaël Santé Intégrative et président de la Société française d’oncologie intégrative. Ba&sh a souhaité donner l’opportunité à tous les collaborateurs d’être sensibilisés au cancer du sein, à la médecine intégrative et, plus généralement, à la notion de santé. Par ailleurs, nous organisons des courses caritatives dans Paris et en France en faveur de causes féminines. En 2023, 60 de nos collaboratrices ont participé à La Parisienne, course en faveur de la recherche médicale. Cette année, Ba&sh participera à Odysséa le 6 octobre.
De quoi êtes-vous le plus fières ?
B. B. : Le travail collectif de notre entreprise pour transformer la marque et limiter notre impact sur l’environnement. Nous avons commencé notre chantier RSE en 2017 et il s’est rapidement développé avec une équipe de 6 personnes dédiées dont le travail au quotidien est de transformer la marque et challenger l’ensemble des équipes dans ce processus. Nous leur donnons carte blanche pour transformer rapidement notre société et infuser la RSE dans tous ses domaines.
S. K. : Le fait d’avoir des équipes qui partagent la même vision a rendu les choses possibles. Pour nous, il était crucial d’impliquer et d’engager les employés à tous les niveaux de l’organisation dans le processus, car leur soutien et leur compré-hension des principes qui sous-tendent la labellisation B Corp™ peuvent avoir un impact significatif sur le succès de la candidature. Aujourd’hui, 100 % des employés a des objectifs RSE fixés au début de chaque année. Quant à l’équipe de direction, nos primes sont indexées sur les résultats obtenus en matière de RSE par rapport aux objectifs que nous nous sommes fixés au début de chaque année. Nos actionnaires ont joué le jeu en nous donnant les moyens et croient eux aussi en une industrie de la mode qui fait la différence. Nous pensons également à nos parties prenantes, y compris nos fournisseurs, avec lesquels nous travaillons depuis nos débuts, qui ont accepté de se transformer pour atteindre les normes les plus élevées en matière de RSE. C’est grâce à cet engagement collectif que nous avons réussi notre pari. C’est une immense récompense pour toute l’équipe d’y être parvenue et maintenant de faire connaître notre labellisation.
La nouvelle génération de consommateurs est-elle différente des précédentes ?
B. B. : Elle est effectivement différente car plus informée, exigeante et engagée. Elle recherche des marques qui partagent ses valeurs et qui prennent des actions concrètes pour résoudre les enjeux environnementaux et sociaux. Cette génération n’hésite pas à utiliser sa voix pour influencer et elle attend des entreprises une transparence totale et un engagement authentique.
Vous parlez beaucoup d’optimisme : en quoi Ba&sh est-elle une marque pionnière et porteuse d’espoir ?
S. K. : Nous avons choisi de mettre l’optimisme au cœur de notre ADN. Nous croyons en la capacité de chaque individu à faire une différence et nous encourageons notre communauté à adopter une attitude positive et proactive. En célébrant les petites victoires et en agissant concrètement pour un monde meilleur, nous inspirons et fédérons autour d’une vision joyeuse et lumineuse de l’avenir.
- Asama x Ba&sh : une collection en raphia en collaboration avec des artisans de Madagascar. Chaque vente de panier génère un don pour le projet Asama, qui aide 210 élèves en leur fournissant le matériel éducatif nécessaire pour une année scolaire
- Le Necker Fashion Show : Ba&sh participe au défilé Necker Fashion Show pour offrir un moment hors du temps aux enfants malades, aux côtés de Noémie Lenoir.
- Secours Populaire : Ba&sh soutient l’association notamment en réalisant des collectes de biens de première nécessité en interne. Des sessions de participation au tri de vêtements sont aussi organisées pour les collaborateurs volontaires.
- Sport dans la ville x Ba&sh : cette collaboration a pour objectif d’accompagner les jeunes issus de quartiers prioritaires, et notamment les jeunes femmes, dans leurs premiers pas et leur insertion dans le milieu professionnel.
- Cap Emploi x Ba&sh : des sessions de recrutement inclusif pour intégrer des talents en situation de handicap au sein de l’entreprise.
- Duodays x Ba&sh : Cette opération permet de donner l’opportunité à une personne en situation de handicap de rencontrer un professionnel de ba&sh lors d’un stage pour partager un retour d’expérience et préciser son projet professionnel. L’entreprise renouvèlera en 2024 son dispositif d’inclusion, initié en 2022.
- Power Blazers soutient les projets de 12 entrepreneuses à l’international, grâce à la vente de blazers.
En 2023, 65 197 euros ont été versés à des associations.
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